En cette période de mi-année, les marchés boursiers ont été généreux envers les investisseurs. Les perspectives d'une reprise mondiale de l'activité manufacturière et de possibles baisses de taux pouvant assouplir les politiques monétaires des banques centrales ont contribué à soutenir les marchés. Ces mouvements pourraient appuyer les matières premières et les indices plus cycliques.
Les taux d'intérêt canadiens ont évolué en dents de scie pour atteindre un sommet en avril. Les perspectives d'inflation qui prévalaient alors militaient pour des conditions financières restrictives. Malgré le soutien de l'immigration, l'économie canadienne a finalement montré des signes de contraction. Les importants bouleversements géopolitiques dans le monde ont également contribué à maintenir un climat d'incertitude. Ainsi, la Banque du Canada est devenue la première banque centrale du G7 à réduire son taux directeur en juin dernier après la COVID-19.
Le rendement des obligations canadiennes de moyen et long termes a somme toute été décevant à près de -1 %, les mouvements des taux d'intérêt annulant l'effet du coupon d'intérêt. Enfin, les actions privilégiées, le capital-investissement, l'infrastructure et les hypothèques commerciales ont tous généré des rendements intéressants.
Nous privilégions une saine diversification, et nous saisirons les opportunités qui nous permettront d'ajouter des titres privés. Le portefeuille est optimisé de manière à soutenir le taux d'intérêt du barème de participation. Nous sommes persuadés de pouvoir atteindre nos objectifs de rendement et investir adéquatement la forte croissance des contrats de participation.
